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Santé

Pourquoi je suis végétarienne ?

Dans cette vidéo, je vous explique pourquoi je suis devenue végétarienne et en particulièrement pourquoi cela n’est pas contraire à mes conseils que je vous donne, concernant les interdictions, pour sortir de la boulimie.

Vidéo sur pourquoi je suis devenue végétarienne

sur mes raisons d’être devenue végétarienne

« Bonjour et bienvenue sur le blog Sortir de la Boulimie.

Dans cette nouvelle vidéo du défi « 1 vidéo par jour pendant 50 jours », je vais vous expliquer un petit peu pourquoi je suis devenue végétarienne.

En attendant, si vous voulez être au courant des prochaines vidéos du défi et parce que je vais en publier une par jour, je vous invite à vous inscrire sur le lien juste en dessous. Comme ça, vous serez au courant, par mail, à chaque fois qu’une nouvelle vidéo du défi sera publiée.

Alors, pourquoi je suis devenue végétarienne ? Je voudrais vous parler de ça parce que, si vous suivez un petit peu mon blog, je conseille vraiment d’éviter les interdictions, d’éviter les régimes et les restrictions si vous voulez vous sortir de la boulimie. Du coup, ça peut paraître un petit peu contradictoire…

D’un côté je vous dis d’arrêter les interdictions, et d’un autre moi je suis végétarienne donc il y a plein de choses que je ne mange pas. Justement, je voudrais vous expliquer pourquoi je suis comme ça, pour vous aider à comprendre.

Tout d’abord, je voudrais vous dire qu’au tout début j’ai commencé à être plus ou moins végétarienne. Je dis bien plus ou moins parce que je ne l’étais pas à 100%. Je voulais manger des aliments plus sains, parce que pour moi je méritais des bonnes choses. Comme je m’aimais davantage je méritais des bonnes choses. Je me disais ça au tout début, et je me le dis encore, donc j’ai voulu manger plus bio.

C’est vrai que, quand c’est bio, tout ce qui est viande et poisson c’est un budget quand même un peu plus important alors j’ai fait le choix d’en manger un petit peu moins (de diminuer ma ration de viande et de poisson). Et quand j’en mangeais, ce n’était pas forcément du bio pour des raisons financières.

Au final, en fait et naturellement, je n’ai pas eu suffisamment besoin de manger de la viande et du poisson, ou j’en mangeais de temps en temps mais je ne m’interdisais pas d’en manger. Je n’en ai plus mangé sauf quand j’étais avec des gens ou au restaurant…

Après j’ai vu les effets sur ma santé : comme mon corps avait des choses bonnes pour sa santé et que c’est mon corps qui parle, naturellement j’avais beaucoup plus envie de manger du végétarien, au maximum végétarien puisque je voyais vraiment les effets sur ma santé. Mon corps, lui, ce qu’il veut c’est des bonnes choses donc il va aller vers des choses qui sont bonnes pour lui.

Ça c’est que ressent mon corps, ça ne veut pas dire que c’est bon pour tout le monde. Je ne dis pas qu’il faut être végétarien ou quoi que ce soit d’autre, non. Je n’ai pas envie de parler de ça aujourd’hui et ce n’est pas le sujet. Mais en tout cas mon corps a ressenti ça, et du coup j’avais tendance à être beaucoup plus végétarienne.

Je mangeais quand même de temps en temps de la viande et du poisson, et là, ces derniers temps j’ai vu des vidéos sur les abattoirs et sur ce qu’on faisait aux animaux dans les abattoirs. J’ai vu la souffrance que ça leur faisait vivre, surtout si ce n’était pas du bio ou du local. Il y a un moment où j’ai ressenti un dégoût par rapport à ces aliments.

Mon corps a ressenti que je ne pouvais pas me sentir bien, ni être dans le bien-être ni pouvoir aider les gens dans le bien-être, tout en mangeant en même temps des aliments qui ont soufferts. Ce sont mes convictions, c’est moi, ça ne veut pas dire qu’il faut penser comme moi.

Du coup aujourd’hui, même quand je suis avec des gens ou que je mange avec mes parents, je ne veux plus en manger. Exceptionnellement je vais en manger quand je sais que c’est bio, sinon je ne peux pas. Si je sais que ce n’est pas bio, je me dis que peut-être l’animal a souffert et ça me provoque un dégoût.

Là, je ne suis pas dans l’interdiction et je dois vraiment parler de ça : je ne suis pas dans l’interdiction. C’est juste que mon corps rejette en fait, mon corps ne veut pas ces aliments. Ce que je ressens, c’est un petit peu la même sensation que si vous n’aimiez pas les épinards par exemple. Si vous n’en mangez pas vous ne vous l’interdisez pas, c’est juste que votre corps n’en veut pas. Votre corps ne veut pas manger d’épinards, il n’y a pas d’interdiction donc il n’y a pas de frustration.

Pour moi c’est la même chose en fait, ce que je ressens c’est le même ressenti que si c’était des aliments que je n’aimais pas parce que j’ai développé un dégoût. Ce n’est donc pas ma tête qui parle, ce n’est pas ma tête qui dit : « Non tu ne manges pas ça, interdis-toi de manger ça », c’est vraiment mon corps.

Pourquoi je voulais vous parler de ça ? C’est vraiment pour guérir de la boulimie, pour vraiment arrêter les interdictions, arrêter de s’interdire… Parce que quand on s’interdit des choses, quand on restreint son alimentation, quand on s’empêche de manger ce qu’on a envie de manger, on crée des frustrations qui vont facilement déclencher des crises de boulimie. Si vous êtes là-dedans, ça peut être un petit peu difficile de sortir de la boulimie ou de diminuer les crises.

Vraiment, je vous conseille d’être à l’écoute de votre corps, d’être à l’écoute de ce que vous avez envie de manger et d’arrêter les interdictions alimentaires. Vraiment, je vous conseille de vous poser la question (quand vous ne voulez pas manger quelque chose) : « Est-ce que c’est votre corps qui n’a pas envie de manger cet aliment, ou est-ce que c’est votre tête qui vous l’interdit ? ». Ça, c’est vraiment la différence, c’est ce qui va faire beaucoup de différence…

Si c’est votre tête qui vous interdit de manger des choses, et je le dis dans le cas où par exemple  vous auriez au fond de vous l’envie de manger et que vous vous l’interdisiez, ça va créer des tensions négatives en vous et vous inciter à faire des crises de boulimie. Donc vraiment, posez-vous ces questions et je vous conseille d’être à l’écoute de votre corps, d’arrêter les interdictions, de manger ce que vous avez envie de manger.

Pour en revenir à moi, je vous dis que je ne suis pas dans les interdictions, ça c’est fait progressivement. Demain, je sais que si j’ai envie de manger de la viande non bio, je ne m’en empêcherai pas. C’est juste que mon corps, en tout cas aujourd’hui, il n’en veut plus, il n’a plus envie parce qu’il ressent du dégoût. C’est vraiment la différence.

Je voulais faire cette vidéo parce que pour moi c’est important cette différence entre ce que notre tête nous dit et ce que notre corps nous dit. Soyez plus à l’écoute de votre corps, si vous avez envie de manger des choses, votre corps se régulera tout seul si vous avez peur de grossir (regardez les vidéos que j’ai déjà mis là dessus, peut-être que j’en reparlerai dans le défi).

Voilà, pour moi il était important de vous parler de ça, je vous laisse là dessus et je vous dis à demain pour la prochaine vidéo.

N’hésitez pas à vous inscrire sur le lien juste en dessous pour être au courant des prochaines vidéos de ce défi.

A demain… »

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